C'est marrant comme à force de ne rien faire on a tendance à oublier qu'on n'est pas adapté au monde qui nous entoure. Et comme quelques formalités consécutives vous le rappellent avec fracas.
J'en ai assez, j'en ai assez, j'en ai assez. Mes inadéquations avec le monde ne disparaissent évidemment pas. Aller faire réparer sa voiture. Aller au guichet de sa banque. Faire des comptes. Choisir quelque chose au restaurant. Envoyer des mails enthousiastes sans recevoir de réponse. Ne toujours pas savoir pourquoi se lever le matin. Finir par se lasser de manger systématiquement la même chose. Comprendre que le futur est encore bien plus compromis qu'on ne le croit car la majorité des parents ne savent plus éduquer leurs enfants. Comprendre que les gens vont de plus en plus mal mais qu'ils s'en rendent de moins en moins compte parce qu'il existe de plus en plus de substituts / artifices / divertissements pour leur faire oublier. Être désespéré, à juste titre.
J'en ai assez, j'en ai assez, j'en ai assez. Mes inadéquations avec le monde ne disparaissent évidemment pas. Aller faire réparer sa voiture. Aller au guichet de sa banque. Faire des comptes. Choisir quelque chose au restaurant. Envoyer des mails enthousiastes sans recevoir de réponse. Ne toujours pas savoir pourquoi se lever le matin. Finir par se lasser de manger systématiquement la même chose. Comprendre que le futur est encore bien plus compromis qu'on ne le croit car la majorité des parents ne savent plus éduquer leurs enfants. Comprendre que les gens vont de plus en plus mal mais qu'ils s'en rendent de moins en moins compte parce qu'il existe de plus en plus de substituts / artifices / divertissements pour leur faire oublier. Être désespéré, à juste titre.
P.S. Et dire que certaines personnes se font passer pour asociales. C'est amusant. Qu'elles commencent par vérifier qu'elles n'offrent aucun cadeau de Noël et ne souhaitent aucun voeux. On verra ensuite combien restent en lice.