(12h37)
On ne traite pas les gens comme des objets. On ne les jette pas au gré de notre humeur. On ne les considère pas comme de vulgaires déchets. Les déchets n'ont pas d'émotions. Il faudra bien un jour que les gens finissent par le comprendre, si on veut une société un peu plus apaisé et harmonieuse.Bonjour,
J'ai
épuré répertoire et messagerie ce lundi (et désinstallé WhatsApp).
Aussi j'ignore quel expéditeur manifestement irréprochable m'adresse ce
sms plein de griefs. Merci de m'indiquer un prénom si volonté que je
comprenne ; sachant que mes actions sont rarement sans raison légitime,
même si je demeure foutrement imparfaite.
L.
Avez-vous
donc jeté tant de personnes comme des mouchoirs, du jour au lendemain,
sans plus donner signe de vie, au cours des six derniers mois ?
Peut-être
que n'ayant qu'une vie il ne faut guère s'en soucier. Et que ceux qui
en pâtissent devraient se montrer plus robustes et moins rancuniers.
(J'avais oublié que votre prose était si agréable à lire)
Il
m'arrive de couper les ponts, point. Rarement, mais ça se produit.
Notamment quand je me sens mal à l'aise/indisposée par autrui, qu'il
s'agisse de son comportement et/ou de ses propos.
Bref,
j'ai demandé une identité et rien. Et je ne désire pas échanger avec un
fantôme. Alors je souhaite à l'expéditeur inconnu de ces messages de
tourner la page et une bonne continuation malgré tout, malgré ses
multiples griefs.
L.
S.
Je vous espère en forme et épanouie. Comme je vous l'avais écrit en février.
J'espère que vous trouvez de la stimulation intellectuelle, et pas que.
La
coupure brutale me laisse encore un goût amer, mais elle n'a pas fait
disparaitre les nombreux échanges plaisants et stimulants. Ils ne sont,
pour ma part, pas faciles à reproduire.
Parfois il
m'a même traversé l'esprit de vous les reproposer. Si tant est que vous
répondiez, haha. Mais si vous en êtes déjà bien lotie je m'en réjouis.
(13h46)